Evénements en Navarre | A secouru un pèlerin désorienté deux fois en moins de 24 heures

La police nationale de l’unité d’immigration et de documentation de Valcarlos a dû secourir à deux reprises en moins de 24 heures à un pèlerin qui avait été désorienté dans la première phase de Le Chemin de Saint-Jacques lorsque vous entrez en Espagne.

Tout d’abord ça a aidé dimanche soir derniervers dix heures et demie du soir, après avoir reçu un message d’un voisin au téléphone du chef du poste frontière indiquant que il avait vu passer un pèlerin sur la N-135† En raison de l’heure, du fait que c’était une nuit sans lune et qu’il marchait sans aucun équipement léger, il a failli être renversé deux fois par des véhicules circulant sur la route nationale.

Devant le danger d’être écrasé et que le pèlerin soit désorienté, l’officier s’engage sur la route en sens inverse avec les feux clignotants et trouve le pèlerin accoudé au sol au bord de la route. L’homme était arrivé en Espagne le même jour en provenance des Philippines, où il vit, et, probablement à cause du changement d’heure, J’étais désorienté sans savoir à quelle heure Ce n’était même pas la distance qu’il devait parcourir à Roncevaux.

En route vers le refuge dans une voiture de patrouille 4×4, il a déclaré que son idée était d’aller à Santiago à pied dans une période de deux mois et qu’il faisait le Camino en l’honneur de leurs ancêtres espagnolsdont il garde le nom.

Le lendemain, le policier s’est approché du refuge pour s’enquérir de l’état de l’assistant. Il le trouva au petit déjeuner et en parfaite santé et… l’a ramené au point de collecte continuer la marche. Cependant, et après avoir appris qu’il avait été vu en train de marcher… dans la direction opposée (en France et non à Santiago) et considérant qu’à huit heures et demie de l’après-midi aucune des auberges de la région n’était prévenue de son arrivée, il se rendit dans la zone où il pouvait se trouver, compte tenu du temps de marche.

A l’orée d’une forêt, proche de la France l’a retrouvé et le ramena au Refuge pour y passer la nuit. Le pèlerin, qui considère le Camino comme son voyage de retraite, a poursuivi la marche ce matin, avec le contact du sauveteur dans son portefeuille.

Philbert Favager

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