France : face aux « fantômes » de Corse et aux Brigades rouges

Avec les fantômes de sa séparation la Corse et de Brigades rouges italiennes est l’opinion publique? France

Le premier est venu au premier plan de l’actualité, à l’occasion de lui Décès hier lundi d’un indépendantiste corse de 60 ans Yvan Kolona, ​​en état de mort cérébrale depuis le 2 mars dernier, lorsqu’il a été victime d’un attentat meurtrier par hésitant dans les prisons les plus sécurisées de France.

L’agresseur de trente-cinq ans est islamique varipoinite et, selon la presse française, s’est excusé en disant que Colonna « Maudit le Prophète »

Colonna était sans aucun doute le prisonnier le plus célèbre indépendantiste corse.

Fils d’un député socialiste de l’époque mitterrandienne, membre du Front de libération nationale de la Corse, il a été mis en examen en 1999 pour l’attentat meurtrier de 1998 contre le préfet corse Claude Erinyak. Il est entré dans la clandestinité, la rumeur l’ayant voulu tantôt en Sardaigne et tantôt au Venezuela, jusqu’en 2003 où il a été arrêté dans une bergerie en Corse, où il a vécu toutes ces années après être devenu berger. Il a nié les accusations, en 2011, il a été condamné à la réclusion à perpétuité et irrévocable et depuis lors, toutes ses demandes de traitement relativement favorable, en tant que père d’un enfant mineur, ont été rejetées.

Cependant, sa mort a fait entrer la question de l’autonomie de la Corse dans le débat pré-électoral, obligeant à peu près tous les candidats à la présidence à prendre position sur la question et à proposer des solutions.

Macron exige « la paix et la responsabilité » des Corses

« Paix et responsabilité », a exigé le président français Emmanuel macrone à la mort du séparatiste corse Ivan Kolonas, qui perpétuité pour le meurtre du Préfet de Corse.

Le président français a promis que l’affaire ferait l’objet d’une enquête et que toutes les conclusions nécessaires seraient tirées.

Pendant ce temps, des articles dans la presse française parlent de climat tendu en Corse, où Colonna était populaire et sa revendication d’innocence était crédible. Sa décision est aussi une indication de l’inquiétude qui existe à Paris Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanen passera trois jours en Corse.

« L’esprit » des Brigades rouges

Le deuxième fantôme qui hante la France est lui aussi de nature terroriste et est passé au premier plan de l’actualité suite à la décision de la justice française de rouvrir son dossier à partir de demain. déportation de dix Italienscondamnés dans leur pays pour des actes terroristes commis entre 1970 et 1980.

Six d’entre eux étaient alors membres des Brigades rouges, trois sont des femmes et tous vivent en France depuis plus de trente ans, ce qui a été annoncé de bouche à oreille en 1985. François Mitterrand, il leur avait assuré que s’ils « se coupaient de leur passé », ils ne seraient pas expulsés.

Un avis pourtant non partagé par l’actuel président Emmanuel Macron, qui il y a un an avait promis à Mario Draghi que l’Italien exigeait question sur 10 sont réévalués.

L’aîné d’entre eux, Giorgio Pietrostefani, 78 ans, a été convoqué pour témoigner demain.Selon son avocat, il a des problèmes de santé qui l’empêchent de se déplacer.

Louvel Lucas

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