« La France se tient derrière le peuple japonais », a ajouté Macron dans un texte sur le réseau social Twitter, exprimant son soutien à la famille et aux amis de l’ancien Premier ministre conservateur japonais.

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, s’est dite « choquée » par la fusillade de l’ancien Premier ministre japonais dans la ville de Nara aujourd’hui.

« Je suis choqué par la nouvelle de l’attentat contre Shinzo Abe. Nos pensées vont à lui (Shinzo Abe) et à sa famille », a déclaré le chef de la diplomatie à Berlin dans un message diffusé par le réseau social Twitter.

Baerbock assiste à la réunion du G20 qui se déroule à Bali, en Indonésie.

Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, dans un message diffusé sur les réseaux sociaux a fait part de « l’émoi » face à l’attentat, qu’il a qualifié de « lâche ».

De même, le secrétaire général de l’Alliance atlantique, l’OTAN, se dit « profondément » choqué par l’attaque « haineuse » contre Abe.

Shinzo Abe a reçu une balle dans le dos avec une arme à feu alors qu’il parlait dans une rue de la ville de Nara lors d’une campagne électorale du Parti libéral démocrate (PLD) pour les élections législatives du 10 juillet.

Selon les services d’urgence, l’ancien dirigeant a fait un arrêt cardiaque lorsqu’il a été transporté à l’hôpital.

Le suspect de l’attaque contre l’ancien Premier ministre japonais Shinzo Abe est un ancien membre de la marine japonaise au chômage, âgé de 41 ans, a indiqué la police japonaise.

Yamagami Tetsuya, originaire de Nara, a été arrêté sur les lieux de l’attaque et en possession de l’arme qui aurait tiré deux coups de feu sur l’ancien dirigeant japonais.

Selon des sources du ministère japonais de la Défense, l’agresseur présumé a travaillé dans la branche navale des forces d’autodéfense pendant trois ans, jusqu’en 2005.

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