Les stagiaires de l’hôpital Vila Franca de Xira demandent un renforcement des ressources – Actualités

Au cours des derniers mois, il y a eu des ruptures contractuelles constantes à l’hôpital de Vila Franca de Xira, exacerbant le manque de ressources humaines (déjà rares). En ce moment, c’est la confusion dans les couloirs de l’hôpital. Nous avons appris que la directrice du Département de médecine interne a récemment demandé sa démission en raison d’un manque de ressources.

En plus de la nouvelle de cette ruée continue de médecins, le Syndicat Indépendant des Médecins – SIM a appris qu’il y a deux semaines une demande de soutien avait été faite au Collège de Spécialité de Médecine Interne de l’Ordem dos Médicos (OM), signée par 24 médecins de l’établissement, pour limiter la charge de soins des patients hospitalisés. Ce genre d’attitude ne se produit que dans des cas extrêmes. C’est un cri désespéré des cliniciens qui craignent pour la santé de leurs patients et exigent des améliorations des conditions de travail (du moins pour les minima les plus élémentaires permettant les soins).

Le SIM sait aussi que les médecins de ce service de Médecine Interne (MI), comme d’autres à l’Hôpital, sont en décroissance, les départs de cliniciens n’étant pas compensés par de nouvelles embauches. L’exacerbation chronique des ratios patients/médecin oblige chaque spécialiste à observer 12 patients, alors que le dernier arrêté ministériel en vigueur stipule que le ratio normal serait de 8 médecins pour 60 lits, ce qui revient à 7,5 patients par spécialiste, l’accompagnement des internes.

Malgré les avertissements constants de YES, le conseil d’administration (CA) semble déterminé à tendre la corde, sans se rendre compte que la corde doit déjà avoir été rompue. Il semble également investir dans la peinture d’un tableau de propagande rose, dans lequel il « embauche » des médecins (qui ont déjà travaillé comme stagiaires à l’hôpital), plutôt que d’être réels, afin que les problèmes puissent être traités sérieusement. ou les résoudre.

Pour compléter les horaires d’urgence, au lieu d’embaucher les professionnels manquants, l’AC, qui comprend le directeur clinique, a mandaté que les horaires soient renforcés avec plus d’éléments du département de médecine interne. Néanmoins, le manque de médecins aux urgences (ES) reste évident : un médecin affecté à un service d’urgence interne a dû se rendre six fois au service des urgences, un acte qui, en plus des principes du propre Collège du ministère public, ou Spécialité, est une folie dangereuse.

Ces mesures ont augmenté la demande de main-d’œuvre des cliniciens. Ces médecins ont droit à un repos compensatoire en vertu de la loi applicable, y compris les conventions collectives. L’augmentation des rotations dont découle la jouissance de ce droit, du fait de l’affectation excessive au service des A&E, a encore épuisé l’hospitalisation de la spécialité. Par exemple, l’assistance aux patients hospitalisés est devenue encore plus difficile, augmentant l’épuisement physique et émotionnel du personnel clinique du Département (qui, rappelons-le, repose déjà sur un ratio patient/médecin supérieur à celui établi par la supervision) .

D’autres résiliations de contrat sont actuellement attendues, dont une livrée cette semaine, aggravant encore la situation désespérée dans laquelle se trouve l’hôpital. Pour cette raison, une évaluation par le ministère public a été demandée pour déterminer le nombre maximum de patients par médecin nécessaire au maintien d’une activité de soins de qualité, en imposant une limite pour que les patients ne soient pas qu’un nombre et pour rétablir la qualité et la dignité à condition que de patients bénéficiant de soins médicaux.

Sachant que le service de GI a des difficultés à recruter et retenir des cliniciens, nous avertissons l’AC qu’il est plus facile de retenir que d’embaucher de nouveaux cliniciens. Le chiffre d’affaires élevé et le recours croissant à des prestataires externes ne se sont pas avérés être une solution, ce qui est désavantageux pour le service de messagerie instantanée et l’hôpital : l’hôpital ne peut pas être compétitif même à cause des prestataires contractuels.

Le SIM espère, dans l’intérêt de la population que le CA s’est engagé à défendre, que davantage d’activités, comme les consultations et au bloc opératoire, ne seront pas annulées, mettant en péril la qualité des soins aux patients.

OUI exige la vérité et la transparence et que le CA réponde aux différentes lettres d’avertissement envoyées par nous.

SIM exige qualité et sécurité pour les patients et les professionnels.

Philbert Favager

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