Ils étaient vêtus de noir et portaient des banderoles avec les mots « sans soins infirmiers, il n’y a pas de santé », « salaire minimum déjà », « ceux qui s’en soucient méritent le respect » et « hier, nous étions des héros de la pandémie ; aujourd’hui, nous sommes la menace pour le services de santé ».
Les groupes portaient également des ballons noirs en signe de deuil pour la décision.
À Ribeirão Preto, la manifestation a commencé vers 8 heures du matin, devant le parc Marílio Biagi, près du conseil municipal des conseillers, et les manifestants ont défilé dans les rues du centre jusqu’à la promenade.
En cours de route, ils ont également croisé des partisans du président de la République et candidat à la réélection, Jair Bolsonaro (PL), qui se sont concentrés sur la Praça XV de Novembro pour continuer leur chemin vers l’Avenida Nove de Julho.
Des infirmières de Ribeirao Preto, SP, protestent contre la suspension de la loi qui a créé le plancher de catégorie — Photo : Chico Escolano/EPTV
À São Joaquim da Barra (SP), l’acte a eu lieu vers 7 heures sur la Praça Sete de Setembro, au centre. Les manifestants portaient également des banderoles et des ballons et criaient des slogans au ministre du STF.
Dans une note publiée sur le site officiel et sur les réseaux sociaux, le syndicat des travailleurs des établissements de santé de Ribeirão Preto et de la région (SINDEES) a publié une note indiquant que la lutte n’est pas contre les hôpitaux et les maisons saintes, mais pour des salaires décents , donc le catégorie peut soutenir les familles.
En août, le président Jair Bolsonaro a opposé son veto à la loi qui fixe des plafonds salariaux pour les infirmières, les infirmières techniciennes, les aides-soignantes et les sages-femmes.
Le texte du projet, approuvé par la Chambre et le Sénat, fixe le salaire minimum national des infirmières des secteurs public et privé à 4 750 R$, une valeur qui sert de référence pour le calcul du salaire minimum des infirmières techniciennes (70 %), infirmières (50 %) et sages-femmes (50 %).
Des infirmières manifestent à Sao Joaquim da Barra, SP, contre la suspension du plancher de rémunération — Photo : Divulgation
Dans la décision de suspendre le paiement, Barroso a répondu à une demande de la Confédération nationale des établissements de santé, hospitaliers et de services (CNSaúde), qui affirme que le sol n’est pas viable.
Compte tenu des données déjà présentées dans l’action, le ministre a jugé qu’il existe un risque concret de détérioration des services de santé, en particulier dans les hôpitaux publics, Santas Casas et les hôpitaux liés au SUS.
Mardi (6), le président du Sénat Rodrigo Pacheco (PSD-MG) a rencontré le ministre Barroso au siège de STF pour discuter d’une issue pour le niveau national des soins infirmiers.
La décision de Barroso doit être réévaluée par la plénière virtuelle du STF à partir de vendredi (9).
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