LA commencer Vilistos, qui développe des thermostats intelligents pour économiser l’énergie, a été l’un des grands gagnants des prix de l’innovation de l’Institut européen de l’innovation (EIT) annoncés mardi à Bruxelles. Le prix de 50 000 € sera utilisé pour développer les opérations de l’entreprise à un moment où l’Union européenne est confrontée à une crise énergétique potentielle.
« Ce que nous faisons, c’est éteindre ou baisser la température des radiateurs lorsque personne ne les utilise. Cela vous permet d’économiser jusqu’à 32% de l’énergie dépensée dans les entreprises et les bâtiments publics et c’est bon pour la planète », résume Christoph Berger, président exécutif de PÚBLICO Vilistos, qui a remporté dans la catégorie entrepreneuriat (Venture Award), ensemble.
A première vue, le projet ne semble pas particulièrement innovant. Le conglomérat allemand Siemens développe depuis des années des programmes d’intelligence artificielle qui utilisent les informations recueillies à partir de milliers de caméras et de capteurs pour contrôler les niveaux d’énergie, de bruit, d’éclairage et d’humidité dans les nouveaux bâtiments. seulement ça La mission de Vilistos n’est pas de desservir les bâtiments modernes.
« Notre projet ne fonctionne pas uniquement dans les nouveaux bâtiments équipés de nombreux capteurs et lampes intelligentes », explique Berger. « Que se passe-t-il dans les vieux bâtiments ? Dans les écoles publiques ? Notre système est basé sur des thermostats qui peuvent être facilement montés sur tout type de radiateur. C’est là que nous voulons faire la différence. Nous ne résolvons pas seulement le problème des bâtiments intelligents.
appareils de commencer Les allemands peuvent être contrôlés à distance, mais ils sont programmés pour éteindre les radiateurs dans les pièces qui ne sont pas utilisées. Les appareils incluent également des informations météorologiques pour évaluer combien de temps les pièces doivent se réchauffer.
En Allemagne, la technologie sera utilisée pour se conformer aux nouvelles réglementations qui empêchent la température dans les bâtiments publics de dépasser 19 degrés Celsius. C’est l’une des nombreuses mesures prises pour faire face à la crise énergétique.
L’UE veut être pionnière dans technologie profonde
La cérémonie de l’EIT de cette année a mis en lumière plusieurs entreprises et projets axés sur l’économie d’électricité, le développement des énergies renouvelables et le recyclage.
« Les lauréats de cette édition sont des exemples d’idées innovantes qui peuvent venir d’Europe. Ils doivent être nos modèles de changement », a souligné à la tribune la commissaire européenne à l’Innovation, Mariya Gabriel, qui souhaite que l’Union européenne cesse d’être perçue comme un simple régulateur.
Quelques heures plus tôt, Gabriel avait annoncé la mission de l’Union européenne de former au moins un million de nouveaux experts en technologies de pointe au cours des trois prochaines années pour concurrencer la Chine et les États-Unis. L’accent est mis sur les technologies qui peuvent répondre aux défis mondiaux tels que les pénuries alimentaires et le changement climatique – ce que l’UE classe comme technologie profonde (« technologie profonde », en portugais).
Ce mardi, la Française Anna Vanderbruggen est également montée sur le podium dans la catégorie Change pour avoir exploré des moyens plus efficaces de recycler les batteries lithium-ion utilisées dans le téléphones intelligents, ordinateurs portables et voitures électriques. Ce prix vise à mettre en lumière les initiatives de jeunes chercheurs faisant partie du réseau étudiant de l’EIT.
La société autrichienne ecoop, qui développe une pompe à chaleur rotative à usage industriel, a remporté la catégorie innovation. Le prix du public a été décerné à ACT Blade, un commencer développer des pales plus légères et plus contrôlables pour les éoliennes.
Bien que les prix de cette année mettent l’accent sur les économies d’énergie, il y avait aussi de la place pour la santé. Le prix EIT Women Award, qui honore les femmes de la communauté EIT, a été décerné à l’Allemande Catherine Schreiber qui a fondé Advitos, une société qui développe des dispositifs qui aident les patients à faire face à plusieurs défaillances d’organes à la fois.
PUBLIC s’est rendu à Bruxelles à l’invitation de l’Institut Européen de l’Innovation
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