Le directeur exécutif du Service national de santé (SNS) estime qu’il faut empêcher « toute fermeture » des maternités publiques. Dans une interview avec FST et à Journalexplique Fernando Araújo que dans certaines régions du pays, les femmes enceintes peuvent être blessées en raison de l’éloignement des maternités.
Fernando Araújo souligne que «le comité avait proposé la fermeture de six unités« , dans le but de « économiser des ressources pour que le reste puisse fonctionner», rappelle-t-elle. Elle reconnaît toutefois que la fermeture des maternités est un «impact négatif”, principalement à Beira Interieur.
« Le problème, ce sont les grandes maternités comme Lisbonne, Barreiro, Montijo ou Vila Franca de Xira, qui ont chacune près de 1 500 accouchements. Ce sont des endroits qui ont une demande, un accès, une formation énormes et donc cela nous coûte cher de limiter ces endroits. Dans le cas de Beira Interieur, nous parlons d’endroits qui peuvent amener les femmes enceintes à rester plus d’une heure – dans certains cas deux heures – d’un bloc d’accouchement », explique le directeur général du SNS, qui souligne qu’à l’intérieur « le l’impact négatif, bien qu’en petit nombre, est très pertinent.
En plus des maternités, Fernando Araújo a défendu un nouveau modèle d’urgence, avec des équipes dédiées et une rémunération des heures supplémentaires différenciée selon le lieu, l’heure et le jour de la semaine.
« Les équipes dédiées nous aident également à répondre à certaines des exigences qui sont sur la table », dit-il.
L’agrandissement deheures supplémentaires contre service« objectifs »retenir les professionnels de santé dans le SNS», explique Fernando Araújo lors de l’interview.
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