Il y a un accord entre les chefs de parti du sénat fédéral pour opposer son veto 46/2021 à la loi sur les crimes contre l’État de droit démocratique (loi n° 14.197/2021), qui a abrogé la loi sur la sécurité nationale (LSN) à faire. Jair Bolsonaro (PL) a opposé son veto à un article hors texte accusant les sponsors directs et indirects de fausses nouvelles. JOTA suit en direct le déroulement des invasions du Congrès, du Sénat et du STF.
Cependant, le renversement du veto dépend d’une rencontre avec le président du Sénat Rodrigo Pacheco (PSD-MG), qui revient d’un voyage ce lundi (9/1).
Selon les sénateurs, le renversement du droit de veto pourrait blâmer les commanditaires des actes anti-démocratiques qui ont eu lieu ce dimanche (1/8), tant les putschistes se sont enhardis par des faits mensongers révélés sur les réseaux sociaux.
L’article sur le veto prévoit une peine d’un à cinq ans pour quiconque « personnellement ou par personne interposée favorise ou finance par l’utilisation de tout outil non fourni directement par le fournisseur d’application de messagerie privée, une campagne ou une initiative dont il sait qu’elle est fausse et ce qui pourrait mettre en péril la santé du processus électoral ».
L’un des arguments en faveur du veto était que le projet de loi allait à l’encontre de l’intérêt public en ne précisant pas quel comportement serait criminalisé : que ce soit le comportement de la personne qui a généré la nouvelle ou celui qui l’a partagée (même sans l’intention de le masser), ainsi que de soulever des doutes quant à savoir si le crime serait continu ou permanent, ou même s’il y aurait un « tribunal » pour définir ce qui serait perçu comme faux au point qu’il s’agissait d’une forme de crime.
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