L’Europe rigole à nouveau avec les clarifications du gouvernement italien pour faire le plein du système bancaire
Les bourses européennes ont renoué avec les bénéfices, portées par la reprise du secteur bancaire. Le retour au vert du secteur est mené par les banques italiennes, qui s’apprécient après hier a perdu près de 10 milliards d’euros en bourse, grâce à la décision du gouvernement du pays d’introduire une taxe de 40% sur les bénéfices extraordinaires du secteur.
Après la chute de la Bourse, le réalisateur emmené par Giorgia Meloni a donné plus de détails, qui semblent avoir plu aux marchés. Le ministre italien des Finances, Giancarlo Giorgetti a assuré que la contribution ne dépassera pas 0,1% des actifs de l’institution et que ceux qui ont déjà augmenté les intérêts sur les dépôts ne seront pas couverts.
Le Stoxx 600, référence de la région, progresse de 0,86% à 462,55 points. Les secteurs des ressources naturelles, de la technologie et de la banque sont les plus valorisés, avec des taux de croissance de 1,66 %, 1,55 % et 1,28 % respectivement. Le secteur du voyage est celui qui perd le plus (-0,58%).
Intesa Sanpaolo et Unicredit – les deux plus grandes banques italiennes – ont ajouté 3,02% à 2,41 euros et 3,85% à 22,10 euros.
Sur les principaux marchés européens, le Dax 30 allemand a augmenté de 1,01 %, le CAC-40 français de 1,29 %, le FTSE Mib italien de 1,71 %, le FTSE 100 britannique de 0,73 %, l’Ibex 35 espagnol de 1,01 % et l’AEX de 0,74 %. croissance à Amsterdam.
L’attention des investisseurs se tourne maintenant vers les données d’inflation de juillet aux États-Unis, qui doivent être publiées jeudi. Ces données permettront de recueillir des indices sur les prochaines étapes de la Réserve fédérale américaine (Fed) en matière de politique monétaire.
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