Pour l’agenda étaient les moments forts de la réunion la proposition d’extrême droite d’exclure les personnes ayant une double nationalité des emplois publics sensiblesqui a fait réagir les opposants, et le récit personnel de Gabriel Attal sur l’homophobie à laquelle il a été confronté lorsque la question de la discrimination a été soulevée.
Ô Échos de leçon présente une étude montrant que l’extrême droite s’est encore développée au cours de la semaine dernière. Selon l’étude citée par le journal, réalisée les 26 et 27 juin par l’institut Legitrac-OpinionWay, Reunião Nacional et ses alliés de droite disposent de 37% d’intentions de vote au premier tour des élections.
Macron « disparu »
L’enquête pointe également une « défaite difficile » pour le parti de Macron, qui occuperait la troisième place avec 20 %, après le syndicat de gauche Nouveau Front populaire, qui obtiendrait 28 %. Selon le journal, les Français n’ont pas compris la décision du président de dissoudre l’Assemblée nationale et veulent « se venger » de Macron.
Ô Libération souligne la solitude du chef de l’Etat français. Pour le journal, la perspective « inquiétante » de… à l’extrême droite En se mettant au pouvoir, on a presque oublié un fait politique important de cette courte campagne électorale : la disparition de Macron. Selon le journal, « il s’est détourné persona non grataou presque, dans son parti », après la dissolution de l’Assemblée générale.
Mais Libération Il se demande également si cela n’aurait pas été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase pour que les membres de son gouvernement et de son parti prennent leurs distances avec le président – qui en pratique a toujours gouverné seul.
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