La famille de Juliana de Oliveira Salomão, 41 ans, Espírito Santo assassinée par son ex-mari, Marcelo Salomão, en Franceva ouvrir un financement participatif pour financer le transfert du corps. Des proches veulent faire les funérailles à Espírito Santo.
C’est ce qu’a dit la sœur de la victime, Danielle de Oliveira Pigatti. Folha Vitoria qu’un membre de la famille est en contact avec le ministère des Affaires étrangères.
En savoir plus:
>> Capixaba est assassinée devant ses enfants en France ; le mari est soupçonné du crime
>> Espírito Santo assassiné en France : la victime s’était séparée il y a trois mois après les attentats
>> Un couple d’amants est reconnu coupable du meurtre de son mari par strangulation à Castelo
« Mon frère est en contact avec Itamaraty pour résoudre les démarches nécessaires auprès des tribunaux français. Nous allons récolter des fonds pour payer le transfert du corps afin que les funérailles puissent avoir lieu à Espírito Santo »dit Danielle.
Le ministère des Affaires étrangères a annoncé, par l’intermédiaire du consulat général du Brésil à Paris, qu’il suivait le cas de la femme Espírito Santo assassinée par son ex-mari en France. Le crime a eu lieu aux premières heures de jeudi (24).
Itamaraty a dit cela dans une note « Le transfert des restes des Brésiliens décédés à l’étranger est une décision familiale et ne peut être financé avec des fonds publics, conformément au § 1 de l’article 257 du décret 9.199/2017 ».
Juliana de Oliveira Salomão, 41 ans, a été poignardée à mort par Marcelo Salomão devant ses enfants de 14 et 17 ans. Le garçon plus âgé a tenté d’arrêter le crime et a été blessé. La victime s’était séparée de son ex-mari il y a trois mois après les agressions et avait bénéficié d’une mesure de protection contre l’homme.
La sœur de la victime a déclaré à Folha Vitória que ses cousins sont hospitalisés sous la surveillance du gouvernement français.
« Ils sont tous deux hospitalisés pour un traitement psychologique sous la supervision du gouvernement français. Nous n’avons pas encore pu leur parler car ils sont tous deux détenus par l’État. Une des collègues de ma sœur nous a dit que mes cousins n’avaient plus de congés. Danger. »» a souligné Danielle.
Dans une interview accordée au journal Nova Venécia Nova Onda, la sœur de la victime a ajouté que d’autres proches vivant en France se mobilisent pour prendre en charge les adolescents.
« Nous avons des proches qui vivent dans la région où elle vivait. Ils aideront et essaieront de rester avec les enfants jusqu’à ce que notre famille ait résolu les procédures auprès des tribunaux français. »dit Danielle.
L’ex-mari est décédé après le crime
La sœur de Juliana a rapporté que Marcelo Salomão s’était suicidé après avoir commis le crime. Selon elle, l’ex-mari de sa sœur a été retrouvé vivant par la police qui s’est rendue au domicile, mais est décédé aux premières heures de vendredi (25).
Le couple résidait depuis cinq ans dans la ville de Seine-et-Marne, dans la région d’Émerainville. La sœur raconte que Juliana, née en Vila ValerioJe travaillais dans une entreprise de nettoyage et je cherchais une vie meilleure.
Voir le texte intégral du gouvernement fédéral :
Le ministère des Affaires étrangères, à travers le Consulat général du Brésil à Paris, suit le dossier, est en contact avec les autorités locales compétentes et reste disponible pour porter assistance à la famille de la victime.
Veuillez noter qu’en cas de décès d’un citoyen brésilien à l’étranger, les ambassades et consulats brésiliens peuvent fournir des conseils généraux aux proches, faciliter leurs contacts avec le gouvernement local et organiser la délivrance de documents tels que le certificat de décès consulaire, tels que achever les démarches obligatoires des autorités locales dans les plus brefs délais.
Le transfert des restes des Brésiliens décédés à l’étranger est une décision familiale et ne peut être financé par des fonds publics, conformément au § 1 de l’article 257 du décret 9.199/2017.
L’assistance consulaire de l’État brésilien s’effectue par contact avec le citoyen intéressé ou, selon le cas, avec sa famille. Les activités consulaires du Brésil sont guidées par le droit international et national. Pour savoir ce qu’un consulat brésilien peut ou ne peut pas faire, il est recommandé de consulter la section suivante du portail consulaire d’Itamaraty : https://www.gov.br/mre/pt-br/assuntos/portal-consular/assistencia-consular
« Praticien de la bière primé. Étudiant sympathique. Communicateur passionné. Fanatique de l’alcool. »