Bien que la mutation Omicron ait un effet moindre sur les marqueurs durs, « ce serait une erreur de ne pas y prêter attention », a déclaré le professeur Sotiris Tsiodras lors d’un événement de la faculté de médecine de l’EKPA au cours de la pandémie.
Et ce, comme il l’a expliqué, « parce que cette mutation provoque aussi la maladie, des hospitalisations graves mais aussi des décès ».
L’événement a réuni des experts pour faire face à la pandémie, ainsi que le président d’EODY Theoklis Zaoutis, qui a commenté l’augmentation des cas enregistrés dans notre pays. Comme il l’a souligné, les admissions à l’hôpital sont stables et il estime qu’on assistera à un aplatissement de la courbe dans les prochains jours.
Il a ajouté que dans la période à venir, nous nous éloignerons du nombre de cas et que l’accent devrait être mis sur les indicateurs concrets, tels que les décès et le nombre de personnes intubées en USI.
L’événement a également discuté du retrait du masque à l’intérieur. M. Tsiodras a estimé que les masques resteront longtemps dans nos vies, notamment dans les hôpitaux et les transports publics.
Maria Tsolia, professeur de maladies infectieuses chez les enfants, a cependant laissé ouverte l’option d’abolir l’utilisation à partir de septembre.
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