L’emplacement était instable pendant la journée ; Le ministère affirme que le portail n’a pas été piraté.
Un groupe de hackers a affirmé vouloir « venger » la mort d’un manifestant français.
des adeptes du mouvement Anonyme
Nantes, France (Photo : Stéphane Mahé/Reuters)
Le groupe de hackers Anonymous a revendiqué mardi (6) une quasi-attaque contre le ministère français de la Défense, prétendant vouloir se venger d’un manifestant écologiste tué lors de la répression d’une manifestation en octobre.
« Le portail a été instable toute la journée », a reconnu le ministère, tout en garantissant que le site « n’avait pas été piraté » et que « son intégrité n’était pas menacée ».
Le ministère a indiqué qu’il enquêtait « pour déterminer s’il s’agissait bien d’une attaque et à partir de quelles adresses IP ». [protocolo de internet] Des requêtes ont été envoyées qui ont saturé le serveur. »
Dans un communiqué publié en ligne, Anonymous a expliqué que l’attaque visait à « venger » la mort de Rémi Fraisse aux mains de la police française. Le militant écologiste de 21 ans a été victime d’une grenade d’assaut lancée par des gendarmes lors d’une manifestation sur le chantier où sera construit le controversé barrage de Sivens (sud de la France).
Après la mort de Fraisse, plusieurs manifestations ont été organisées dans différentes villes. Certains de ces actes se sont soldés par des affrontements entre policiers et manifestants.
La mort de Fraisse était la première répression d’une manifestation signalée en France depuis 1986. L’événement plaçait le gouvernement socialiste dans une position difficile, qui avait déjà fait face à de nombreuses critiques, y compris dans ses propres rangs.
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