Guy d’Uruguayaiana et ses histoires

Scène de crime

Salut! Non seulement cette histoire est vraie, mais elle s’est réellement produite. C’était là à cause des groupes de Quaraí. Sur les lieux du crime, un policier a communiqué par radio avec le patron :

– Capitaine, nous sommes ici sur la scène du crime. Bourse.

Le patron a répondu :

– Copié. Exécutez le rapport, agent. Bourse.
– Article 121, monsieur. La femme a tué son mari. Il y a eu 35 coups de couteau, deux coups de feu… Puis il a étouffé le vivant et enfin il a brûlé le bagual sur le barbecue. Échange – a rapporté le policier.

– Nous! Quel crime horrible. Et vous avancez la raison ? Échange – a demandé au patron.

– Oui Monsieur. Il piétinait, avec ses bottes sales, le sol qu’elle nettoyait. Échange – décrit l’officier.

– Barbarie ! Et ont-ils réussi à capturer la femme ? L’avez-vous interrogée ? Échange – a demandé au patron.

– Non, Capitaine, nous attendons que le sol sèche. Échange final – fait avec les braves.

Mais quelle barbarie !

Jésus au bar

 » alt= » colonne du garçon uruguayen, 21 et 22 mai 2022

Que de tricherie, hein, créature vivante ?Photo : Fabricio Eckhard / Publicité

Salut! Cette histoire se passait dans un pub d’Alegrete, bien fréquenté, une barbarie ! Un Français, souffrant de graves maux de dos, est entré dans le pub et n’a croisé personne d’autre, nul autre que Jésus. Il a dit:

– Maître, prenez un verre de vin avec moi.

Jésus accepta, toucha le dos du Français et… Ta-daãn ! La douleur disparaît miraculeusement. Au bout d’un moment, c’est au tour d’un Russe d’entrer dans le pub, avec une forte douleur au pied.

Le Russe a dit :

– Jésus, prends un verre de vodka avec moi.

Jésus accepta, toucha le pied du Russe et… Pimba ! La douleur est partie. Alors un Gaudério entra dans le même bar, avec un bras dans le plâtre, et dit :

– Tchê, Jésus, viens boire une butiá cachaça avec moi.

Jésus a accepté. Quand il eut fini de boire et qu’il alla poser sa main sur le bras plâtré du gaucho, il se leva et dit :

– Mais, bah ! Ne viens même pas là-bas avec cette sainte main, Brésil ! Je ne peux pas manquer mon certificat de 30 jours !

Mais quelle barbarie !

Bande dessinée:

Photographe:

Louvel Lucas

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