En se rapprochant de notre réalité, les véhicules électriques sont de plus en plus à l’honneur, même si la valeur des modèles est pesée, ils font l’objet de tous les cercles où règne la conversation sur les voitures. La bonne nouvelle de l’an dernier a été le lancement d’une version du compact Kwid, avec une motorisation 100 % électrique, l’E-Tech, dernier nom qui baptise tous les véhicules Renault de ce segment. La proposition du constructeur automobile français est de rendre l’univers de l’électrification plus accessible et puisque l’essentiel de l’utilisation de ces véhicules se fait en centre-ville, rien de mieux qu’une compacte, facile à garer et plus maniable dans la circulation. .
Dans la ville
Et c’est exactement ce qu’on a vu quand on a conduit le Kwid E-Tech pendant les vacances de carnaval dans un Belo Horizonte atypique sous le « règne du momo », trafic dense, avec plusieurs déviations pour faire place aux fêtards, aux fêtards et aux blocs. Et dans cette situation, les dimensions du compact à moteur électrique le rendaient plus maniable pour trouver la meilleure option d’itinéraire. Fenêtres fermées pour s’isoler du bruit extérieur et ouvrir la climatisation, le silence régnait pendant les journées d’évaluation. Le modèle électrique de 65 ch et 11,5 kgfm de couple a toujours eu le mode de conduite Eco, qui réduit la puissance de 48 à 33 kW et avec 45 ch disponibles, la vitesse maximale est désormais limitée à 100 km/h et les freins sont plus une aide active pour économiser de l’énergie.
Autonomie et projet
Selon le constructeur, la batterie assure une autonomie de 298 km en cycle urbain, largement suffisante pour un usage courant, ce qui n’exclut pas un usage sur autoroute. Mais cette autonomie peut être encore plus grande car, comme nous l’avons dit, les Français électriques disposent d’un freinage récupératif qui récupère de l’énergie à chaque fois que le conducteur lève le pied de l’accélérateur ou freine efficacement. Le projet est global et a été développé pour qu’un plus grand nombre de personnes aient accès aux voitures électriques.
Visuel
Optiquement, le point culminant est l’avant, avec un capot replié, avec un grand pare-chocs et une unité optique séparée, avec des feux de jour à LED. La calandre avant est intégrale et a pour fonction de loger le capot qui donne accès à la recharge de la batterie. L’ouverture est activée via une commande interne sur le panneau à côté du conducteur. Quant à la partie arrière du Kwid électrique, il y a peu de changements par rapport au modèle à moteur à combustion interne, le principal étant un protecteur peint en argent qui abrite la batterie et des réflecteurs intégrés.
Chargement
Comme tout véhicule doté d’un moteur 100% électrique, il se recharge via une prise, avec la française il est facile à monter devant le moteur, l’intérêt de ce modèle c’est qu’il est livré avec un adaptateur qui permet de épingler votre branchez dans une prise à trois broches, domestique, mais mise à la terre. Pour charger de 15 à 85%, vous devez le charger pendant environ 9 heures. Mais c’est une bonne solution, vous roulez la journée, videz la batterie et au retour vous laissez la voiture branchée, comme vous le faites avec votre téléphone portable et le matin la batterie se recharge à nouveau. Avec des chargeurs de plus grande capacité, ce temps est considérablement réduit. Lorsqu’il est branché, le panneau affiche l’indicateur de charge et l’autonomie en kilomètres à ce niveau de charge actuel. (RC)
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