Le chef du contre-espionnage français a été licencié pour incompétence


Première entrée : jeudi 31 mars 2022, 09h55

L’éviction du général Eric Vidaud du poste de chef du contre-espionnage militaire français (DRM) est un aveu indirect de l’establishment militaire français, ainsi que du palais présidentiel d’Ilisian, dans lequel les services de renseignement français sont entrés peu avant et peu après l’invasion russe de l’Ukraine. .plutôt sur… le vol. La nouvelle de l’expulsion du général français a été diffusée par l’agence de presse française, qui a déclaré jeudi matin dans un commentaire sur le déménagement du service militaire français que le général Vidaud n’avait manifestement pas répondu aux demandes, provoquant de graves problèmes et commentaires lors des briefings répétés. , tandis que le bureau français ajoutait que tout montre que le général Vidaud ne correspondait pas aux circonstances.

L’article et le commentaire de jeudi matin du journal français Le Monde concluent que les dirigeants militaires français se sont vite rendu compte que les dossiers d’information disponibles peu avant l’invasion russe de l’Ukraine ne donnaient pas une image fidèle de la situation. Même quelques heures avant l’invasion, les services de contre-espionnage militaires français ont fait remarquer aux dirigeants politiques français, à savoir Emanuel Macron, que le coût d’une invasion serait énorme pour Poutine et que Moscou avait d’autres moyens de renverser Zelensky. Quelques jours après l’invasion, le chef d’état-major interarmées français avait « vidé » le chef de l’espionnage militaire français en disant qu’il était clair que les services américains avaient des informations bien informées sur exactement ce qui se passait et ce qui se passait . en préparation dans l’enceinte du Kremlin. Il est important de noter que des sources militaires françaises ont indiqué jeudi matin que le départ du général Vidaud du contre-espionnage français était imminent, tout comme son remplacement. Bref, le service militaire français exprime une hostilité claire à cet officier militaire.

Cependant, ce n’est pas le seul cas où une puissance européenne puissante a été prise au dépourvu dans le cas de l’Ukraine. Au moment de l’invasion russe, le chef des services secrets allemands buvait un café insouciant dans les bureaux des services de sécurité et de contre-espionnage ukrainiens. Berlin a été contraint de monter une opération de sauvetage à grande échelle, impliquant des hélicoptères et les forces spéciales allemandes, pour mettre en sécurité le chef du renseignement du bâtiment du ministère de la Défense de Kiev, puis à Berlin.

Dernière mise à jour : jeudi 31 mars 2022, 09:55

Victorine Pelletier

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