Le retail dévalorise la création d’un panier de produits de première nécessité à petits prix
Le ministre de l’Economie a admis que le Portugal pourrait aller de l’avant avec une initiative similaire à celle de la France pour fournir aux consommateurs un panier de biens essentiels à des prix fixes. Mais l’APED dit que l’idée n’a pas de jambes pour marcher ici, disant que c’est un « bon mouvement de communication ».
L’Association portugaise des entreprises de distribution (APED) rejette l’idée que le secteur s’oriente vers l’offre d’un panier de biens essentiels à un prix fixe, a indiqué mardi l’entreprise. Public. L’APED affirme que les détaillants sont « tous dans la campagne des prix les plus bas » et que la création d’un panier à prix fixes n’est pas autorisée par les lois sur la concurrence.
Après avoir promis des mesures « musclées » pour freiner l’inflation alimentaire, le ministre de l’Economie António Costa Silva a admis que le Portugal pourrait aller de l’avant avec une « action coordonnée » pour fournir aux consommateurs un panier de biens essentiels à prix fixes, comme les plats à emporter en France. Mais l’APED dit que l’idée n’a pas les jambes pour faire le tour ici.
Le directeur général de l’APED, Gonçalo Lobo Xavier, a déclaré que l’initiative française est « une bonne communication du gouvernement et des détaillants français », laissant de côté « le plus grand détaillant français » (E.Leclerc). C’est parce que? « Parce qu’il dit que cela induirait les clients en erreur, alors qu’il a déjà une gamme de produits très pertinente à des prix inférieurs, à savoir un panier de produits très spécifique », se défend-il. En France, le gouvernement et les commerçants se sont mis d’accord pour proposer un panier de produits de première nécessité à prix fixe pendant trois mois. Le choix des produits et la fixation des prix respectifs sont effectués par chaque opérateur.
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