Les cadres bleus qui ont assisté avant-hier à l’événement pré-conférence de ND à Chalandri sont repartis avec une grande question : que voulait dire le Premier ministre ? Monsieur Mitsotakis s’adressant aux membres du parti présents, il a dit « je vous mets sous surveillance dynamique » et « vigilance absolue ».
La première pensée a été, à juste titre, que M. Mitsotakis voulait envoyer un message de vigilance aussi intense à l’appareil du parti, mais sans le lier au moment des élections, puisqu’il a répété lors de la même manifestation qu’elles se dérouleraient en le printemps 2023.
Dans le camp gouvernemental, l’heure du scrutin monopolise l’importance de toutes les discussions. Les ministres, les députés et les cadres expriment ouvertement leurs craintes que si la précision est augmentée l’hiver prochain, « PPC brûlera le gouvernement ».
Dans les discussions mutuelles, des histoires sont racontées avec leurs électeurs, qui dans leur ensemble ont à voir avec les factures inimaginables qui parviennent aux ménages, aux commerces et aux entreprises. « Avec cette situation que nous vivons, la rusfetia traditionnelle a quasiment disparu. « Ce que tout le monde demande et à juste titre pour faire quelque chose avec les factures », admet un ministre qui entretient de bonnes relations avec le Palais Maximos. Il comprend, comme la plupart des ses collègues, que compte tenu des possibilités budgétaires, le gouvernement fait ce qu’il peut, comme ils disent habituellement, mais ils sont inquiets et ne cachent pas que si le premier ministre insiste sur la possibilité de prolonger l’épuisement des mandats de quatre ans, la situation pour le gouvernement ND devient de plus en plus difficile.
La plupart d’entre eux, ainsi que certains membres du personnel du gouvernement qui ont été en faveur d’aller aux urnes en mai, estiment que l’occasion d’organiser les urnes plus tôt n’a pas été perdue. Des élections pourraient se tenir au début de l’automne, après un été moins stressant, alors que même les effets de la vague de précision n’auront pas irréversiblement affecté le climat politique.
Après l’élection en France, de nombreux bluesmen ajoutent même une raison de plus à leur argumentaire pour l’élection d’automne : ne laissez pas les forces et les gens se déplaçant vers la droite de la ND attirer de larges segments d’électeurs mécontents. « Plus la crise est profonde – et rien n’indique qu’elle se terminera bientôt – plus ceux qui veulent investir dans le mal, l’anti-systémique, l’anti-occidental, l’anti-européen auront un espace vital. » dire. †
Le Premier ministre lui-même réitère à chaque occasion sa volonté d’épuiser tous les quatre ans. En même temps, cependant, il se lance et peint à chaque occasion la toile avec laquelle il marchera jusqu’aux élections.
Il y a deux jours, il a posé le dilemme du progrès ou de l’application et le besoin de stabilité et d’application de l’acquis européen.
Dans le même temps, il a demandé aux ministres compétents qui sont « en attente » des lois de réforme de les remplir immédiatement afin qu’elles puissent être votées dans les prochains mois, avant le début de la nouvelle législature.
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