Le 25 février est la journée internationale de l’implant cochléaire. La date commémore la première intervention de ce type, réalisée en France en 1957. Un implant cochléaire permet aux personnes atteintes d’une surdité de perception sévère ou profonde de restaurer leur audition.
La perte auditive, ou perte auditive, est un problème chronique et débilitant qui peut toucher les enfants et les adultes, avec des conséquences telles qu’un retard de développement cognitif, des difficultés d’intégration sociale et des problèmes psychologiques comme la dépression.
Selon le degré de gravité, la perte auditive peut être classée comme légère, modérée, sévère et sévère.
En Argentine, la loi n° 25 415 garantit le droit de tous les nouveau-nés à être examinés afin de connaître précocement leur état auditif. Grâce au Programme national de détection précoce et de prise en charge des surdités, les patients de moins de 5 ans peuvent bénéficier d’appareils auditifs ou d’un implant cochléaire, selon leurs besoins.
Qu’est-ce qu’un implant cochléaire ?
L’implant cochléaire est un dispositif de haute technologie destiné à redonner l’ouïe aux personnes atteintes de surdité sévère ou profonde, pour lesquelles l’aide auditive n’apporte pas de solution.
Cet appareil convertit le son en signaux électriques et les envoie au cerveau via le nerf auditif, qui reconnaît ces signaux comme des sons. Il se compose d’une partie interne, qui est implantée dans le crâne, et d’une partie externe, visible derrière l’oreille, qui comporte un microphone.
Il est indiqué chez les patients de plus d’un an présentant une perte auditive sévère ou profonde, d’une ou des deux oreilles. Dans le cas où le patient a eu une méningite, l’implantation se fait avant un an de vie.
La détection précoce
Il a été démontré qu’un diagnostic précoce de la perte auditive et l’implantation opportune d’implants cochléaires ont des avantages remarquables pour l’audition, le développement du langage et l’intégration familiale et scolaire.
Détecter et traiter la perte auditive chez l’enfant est extrêmement important, car le langage, le développement intellectuel et social de l’enfant sont étroitement liés à la capacité d’écoute.
Les nouveau-nés subissent un test d’émission otoacoustique, qui permet une détection précoce des problèmes d’audition. Cependant, les parents ou les soignants doivent être attentifs au comportement du bébé vis-à-vis des sons.
Un adulte peut également améliorer sa qualité auditive avec un implant cochléaire, qui favorise la communication avec les autres et prévient l’isolement et la dépression.
Prendre soin de la perte auditive
Le ministère de la santé dispose d’un secteur de la perte auditive, qui fonctionne au sein du secrétariat d’État à la médecine sociale et en coordination avec le programme national de la perte auditive.
A l’Hôpital de la Mère et de l’Enfant, des otoémissions acoustiques sont réalisées sur les nouveau-nés. Également dans les centres de santé des quartiers Primavera, 20 de Febrero et Castañares et Nº 63, situés au 655 Avenida Sarmiento.
À l’intérieur de la province, à l’hôpital San Vicente de Paul, à San Ramón de la Nueva Orán, et Joaquín Castellanos, à General Güemes.
Par ailleurs, la Direction Ministérielle de la Surdité réalise régulièrement des otoémissions acoustiques dans le reste de l’intérieur, dans un réseau d’hôpitaux. Cela garantit que tous les nouveau-nés subissent un dépistage auditif néonatal dans les délais recommandés.
À travers cette zone, la livraison d’appareils auditifs de la Nation est canalisée vers les enfants et les adolescents, âgés de 0 à 19 ans, sans travail social. Cet équipement peut inclure des prothèses auditives, des implants cochléaires, des bandes osseuses ou des implants ostéointégrés.
Le service de la perte auditive travaille dans les bureaux de la Direction de la mère et de l’enfant, Sarmiento 655, premier étage, avec entrée par le centre de santé n ° 63. Là, des examens auditifs et un travail posté sont effectués pour un spécialiste en ORL. Pour plus d’informations, veuillez appeler les numéros de téléphone (0387) 4211846 – 4213803.
Il est nécessaire pour participer au programme que le patient ne soit pas affilié à la Sécurité Sociale ou perçoive des prestations de l’Anses.
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