La Première ministre française Élisabeth Borne et les nouveaux ministres du gouvernement du président français Emmanuel Macron se réuniront lundi (23) pour la première fois depuis la nomination du nouveau cabinet et leur réélection il y a un mois. Le Conseil des ministres intervient au milieu d’allégations de viol contre Damien Abad, le nouveau ministre de la Solidarité, de l’Autonomie et des Personnes ayant des besoins spéciaux et ancien président de la République de Macron en marche, à l’Assemblée nationale.
La Première ministre française Élisabeth Borne et les nouveaux ministres du gouvernement du président français Emmanuel Macron se réuniront lundi (23) pour la première fois depuis la nomination du nouveau cabinet et leur réélection il y a un mois. Le Conseil des ministres intervient au milieu d’allégations de viol contre Damien Abad, le nouveau ministre de la Solidarité, de l’Autonomie et des Personnes ayant des besoins spéciaux et ancien président de la République de Macron en marche, à l’Assemblée nationale.
La plainte a été publiée samedi (21) par le site de recherche français Mediapart. Deux des victimes présumées ont été interviewées par le journal et accusent le ministre de viols commis en 2010 et 2011†
L’un d’eux a même affirmé avoir été drogué par l’ancien adjoint du chef de l’Etat, poussant la justice française à ouvrir une enquête pour analyser l’affaire. Deux des plaintes d’une des femmes avaient déjà été déposées en 2012 et 2017.
Selon la radio française France Info, le nouveau Premier ministre français n’était pas au courant des allégations. Elle a promis de faire face aux « conséquences » des décisions de la Justice† Le chef de file du parti de gauche La France insoumise, Jean Luc Mélénchon, a répondu en disant qu’il faut « d’abord croire à la parole des femmes ».
Selon Mediapart, l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique avait déjà transmis le témoignage d’une des femmes à la direction des partis A República em Marcha (au centre) et Os Republicanos (à droite).
législatif
L’ordre du jour du premier conseil des ministres abordera les grands thèmes définis par le président lors de la campagne. Parmi eux, la situation dans les écoles, les hôpitaux, la transition dite écologique et la lutte contre l’inflation.
Les élections législatives, en juin, sont aussi une priorité pour le président, car elles détermineront son soutien parmi les parlementaires pour voter des lois controversées, comme la réforme des retraites. Le texte précise que l’âge minimum de départ à la retraite est de 64 ou 65 ans.
Si l’opposition gagne plus de sièges à l’Assemblée nationale, l’extrême gauche Jean Luc Mélénchon, qui fait partie de la coalition et a obtenu le plus de voix à la présidentielle, pourrait décider de revendiquer le poste de Premier ministre, une caractéristique du système politique. .connue en France sous le nom de cohabitation. En 2017, Macron avait déjà édicté une règle stipulant la démission du gouvernement en cas de défaite de son parti.
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