La photo Vous pouvez demander ce mercredi (29) clarifie les doutes sur la maladie du SIDA. L’avocat Leandro Nagliate en parle.
Le premier cas est celui de Paulo Henrique, qui a 12 ans MAI, mais a travaillé comme employé d’une station-service de 1988 à 2010, lorsqu’il a également cotisé à l’INSS (Institut national de sécurité sociale).
Un avocat lève les doutes sur les soins de santé — Photo : Reproduction/EPTV
Il dit qu’il a dû arrêter de travailler au lave-auto familial en février de l’année dernière en raison de blessures à l’épaule.
« Le travail que je fais, qui est de laver des voitures, est un travail répétitif. Je me suis blessé à une épaule, puis à une autre. » Paulo a demandé un congé de maladie et a été rejeté. Maintenant, il a un procès devant le tribunal.
Récemment, il a découvert un autre problème de santé, la lombalgie.
« Ma question est de savoir si je peux aussi déposer une demande, celle-ci pour une lombalgie, car elle est déjà sur mon épaule et je n’ai aucun revenu ».
Léandro Nagliate : La première chose que nous devons analyser dans son cas est de savoir s’il avait encore le statut d’assuré. S’il s’arrêtait après 12 mois, il pourrait demander. S’il prouve par une situation qu’il a réussi à cotiser plus de 120 mois, il le prolongera d’un an. Et s’il prouve qu’il a cherché un emploi via un site Web ou le ministère du Travail, il le prolongera d’un an. Donc un total de trois ans. D’après l’analyse que j’ai faite pour le temps où il travaillait comme pompiste comme activité spéciale pendant 22 ans, il a cotisé pendant 30 ans. S’il arrivait qu’il cotise encore quatre ans avant 2019, il pourrait demander une cotisation de retraite. L’INSS devrait le guider et lui apporter le meilleur bénéfice, mais cela n’arrive pas toujours. Maintenant, s’il n’a aucune de ces exigences, il peut demander de l’aide, qui est le LOAS. Mais alors, dans ce cas, il devra prouver sa misère.
Leandro Nagliate clarifie les principaux doutes des téléspectateurs sur le soulagement de la maladie — Photo : Reproduction/EPTV
à Wilma, de Ribeirão Preto (SP), dit que son mari a 63 ans. Le premier record de son portefeuille remonte à 1978, il a subi quelques pertes, mais cela fait quatre ans qu’il a subi un pontage cardiaque et il n’a pas pu travailler, ni prendre sa retraite ni obtenir de l’aide. Elle veut savoir comment procéder dans ce cas.
Léandro Nagliate : Dans son cas, parce qu’il n’avait pas cotisé depuis quatre ans, il a perdu son statut d’assuré. Ce qu’il faut regarder dans sa situation, c’est s’il doit cotiser encore deux ans en raison de son âge pour essayer de prendre sa retraite à l’âge, ou dans ce cas une aide.
Paulo Rogério, de Ribeirão Preto, a eu un accident de moto en 1998 et a été définitivement handicapé. Il est devenu aveugle et aimerait savoir s’il a droit à des prestations.
Léandro Nagliate : Encore une fois, ce qu’il faut analyser, c’est s’il a toujours la qualité d’assuré. Probablement, pour qu’il réclame quelque chose dans l’entreprise pour laquelle il travaillait, il y a déjà eu une prescription, il ne pourra pas. Maintenant, vous devez vérifier s’il a la qualité assurée. S’il ne l’a pas, il n’a rien à faire.
Ricardo, de Vargem Grande do Sul (SP), est absent depuis deux ans en raison de trois interventions chirurgicales qu’il a déjà subies et veut savoir s’il a la possibilité de prendre sa retraite. Il a même dû changer son permis de conduire pour handicapé.
Léandro Nagliate : Oui, il a une chance. Ce temps d’absence compte comme du temps dû, ensuite il doit contacter l’INSS, programmer une expertise et là ils détermineront s’il y a droit ou non.
Ana, de Serrana (SP), a 55 ans, a cotisé pendant 16 ans et a subi une intervention chirurgicale pour insérer des épingles dans son épaule. Elle ressent une douleur immédiate, elle suit une kinésithérapie, mais l’INSS a arrêté la prestation. A-t-elle droit à des prestations ?
Léandro Nagliate : Supposons qu’elle a la qualité assurée. Alors, depuis que ses prestations ont été supprimées, l’INSS estime qu’elle n’a plus ce handicap, elle doit donc trouver un professionnel spécialisé, un avocat, pour intenter une action en justice.
Sueli, de Serra Azul (SP), a une nièce trisomique qui a reçu le BCP. Il a été annulé car son père a pris sa retraite avec presque trois salaires minimums et elle veut savoir si ce n’est pas le droit de la fille quel que soit le salaire de son père. Elle dit que sa nièce dépend entièrement du salaire de ses parents, qu’elle a reçu pendant 16 ans et cette année, elle a été suspendue.
Léandro Nagliate : Ce qui se passe dans la BCP, qui est l’aide sociale, c’est que pour avoir droit à l’allocation, c’est un revenu par habitant inférieur au quart du salaire minimum. Lorsque son père a commencé à lui fournir un revenu, ses prestations ont été automatiquement supprimées.
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