Le Portugal est partout dans la presse internationale. La démission d’António Costa, « en proie à un scandale de corruption », est soulignée dans toute l’Europe et fait même l’actualité en Inde. Un journal affirme que les ambitions européennes de Costa se sont « presque certainement » effondrées.
En Espagne, El País met en lumière et explique l’histoire qu’António Costa a démissionné parce qu’il s’est impliqué « dans une enquête concernant le trafic d’influence, la corruption et les délits dans des projets énergétiques ». Le journal raconte également le film de toute la matinée du mardi et affirme que « le gravité de la crise institutionnelle Les conséquences de l’opération ont été confirmées » avec la rencontre entre Marcelo Rebelo de Sousa et la procureure générale de la République, Lucília Gago. Il y avait aussi un ton Le monde et avec abc.
Le limogeage d’António Costa mérite également attention en France. Ô Le Monde parle de « taches d’un scandale de corruption » – tout comme le Le Figaro – et souligne la déclaration du Premier ministre sortant lors de sa déclaration au pays : « les fonctions du Premier ministre ne sont compatibles avec aucun soupçon ». Pour la libérationAntónio Costa a été « choqué » par un « scandale de corruption ».
Les ambitions européennes de Costa prennent fin
Au niveau européen, le journal Politico l’a remarqué António Costa était « en crise » Après la perquisition à la résidence officielle de São Bento, la nouvelle de la démission du leader du PS a été la nouvelle la plus importante de la journée. Plus loin, se souvient du rôle central joué par Marcelo Rebelo de Sousa à ce moment-là, soulignant qu’une étude de 2021 a déjà atteint le annulation d’une exploration de lithium à Montalegre.
Politico conclut également ceci Les ambitions européennes d’António Costa s’arrêtent « presque certainement » làce qui ouvre la voie au maintien de Charles Michel à la présidence du Conseil européen.
L’affaire politique du jour au Portugal est le deuxième moment fort du Guardian – dépassée seulement par le conflit entre Israël et le Hamas et par les événements actuels dans la bande de Gaza. Le journal britannique Rappelez-vous, Marcelo Rebelo de Sousa a demandé au gouvernement de « se lever » après le scandale TAP de cette année.
Aussi la BBC annonce la démission d’António Costa à l’actualité la plus importante de la journée, soulignant que l’indice PSI 20 a chuté de près de 3% après l’annonce.
C’est aussi une conséquence de l’instabilité politique actuelle souligné par Bloombergce qui met en évidence le ralentissement attendu de l’économie portugaise et le taux d’endettement public, qui, malgré l’amélioration de la trajectoire, continue d’exiger l’attention des gouvernements.
Tous les Temps financiers souligne que le Portugal n’a pas de Premier ministre « alors qu’explose une crise de corruption ».
De l’autre côté de l’Atlantique, la démission d’António Costa est interprétée par le Le New York Times comme « inattendu ». Ô Poste de Washington note que le leader du Parti socialiste avait les larmes aux yeux en remerciant sa famille pour son soutien.
Au Brésil, le Journal parle d’un « scandale de corruption dans le secteur de l’énergie », soulignant qu’« en raison des délais légaux et des vacances de fin d’année, d’éventuelles élections anticipées ne pourront avoir lieu qu’à partir de janvier ».
Au Globeles « soupçons de corruption » ont fait tomber António Costa, « considéré comme l’un des dirigeants gouvernementaux les plus stables et les plus expérimentés d’Europe ».
La démission d’António Costa fait également l’actualité en Inde. Ô Temps d’Hisdustan a donné une brève note des allégations de corruption.
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