LES La concentration, qui a eu lieu place du Trocadéro, à côté de la tour Eiffel, a réuni des proches des détenus et des organisations qui les soutiennent.
Les manifestants ont arboré une pancarte indiquant « Liberté pour les otages de l’État en Iran » et des photos des détenus, accusés par les autorités iraniennes d’espionnage et de propagande contre le régime théocratique.
Les sept Français sont dans des « conditions de détention inhumaines », en « isolement » et subissent en permanence des « interrogatoires » et des tentatives d' »extorsion », selon Noémie Kohler, la soeur de Cécile Kohler, une enseignante arrêtée en mai, avec son compagnon, Jacques Paris, accusé d’espionnage.
La ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, était en pourparlers cette semaine avec son homologue iranien, Hossein Amir Abdollahian, pour rappeler que Paris souhaite la libération immédiate des sept « otages français détenus arbitrairement en Iran ».
Les forces de sécurité iraniennes ont détenu plusieurs citoyens de pays européens (Espagne, Allemagne, Pologne, Italie, Pays-Bas, Suède et Belgique) lors de manifestations qui ont débuté en septembre après la mort de Mahsa Amini, qui a été arrêtée pour abus de la langue islamique. .
L’Iran accuse « les ennemis » d’inciter à la contestation, y compris dans cette catégorie de pays comme les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Arabie saoudite.
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