Le Federal Revenue Service a saisi (2) marchandises classées comme contrefaçons par les inspecteurs ce vendredi après-midi dans un point de vente au bord de l’autoroute Anhanguera (SP-330) à Ribeirão Preto (SP). Au total, les produits, y compris les sacs et les vêtements, ont une valeur de 250 000 R$.
Selon le directeur adjoint du bureau des impôts, Carlo Alessandro Mesquita Felippini, l’opération, impliquant 20 fonctionnaires et huit soldats, visait la contrebande et le détournement de vêtements et de chaussures pour empêcher l’évasion fiscale, et a été initiée par le renseignement interne.
†[São] En fait, des produits contrefaits, qui sont des produits de marque, mais qui sont contrefaits et ne sont pas régulièrement importés dans le pays », a-t-il expliqué.
Selon Alexandre Tabah, le directeur administratif du point de vente, le contrat et l’acte énonçant le règlement intérieur du centre commercial, déposé au Registre Foncier, stipulent que la vente de produits dits répliques n’est pas autorisée lorsque l’espace est loué à des commerçants.
Selon lui, la direction n’était pas au courant de prétendues irrégularités dans les lieux. L’espace inspecté est réservé à un seul locataire. Dans d’autres magasins, qui vendent des biens de consommation, des supermarchés, des chaussures, entre autres, il n’y avait pas d’amende.
« La propriété en question a des entrées et des sorties indépendantes du reste de notre centre commercial », a-t-il déclaré.
Procédure après saisie
Toujours selon Felippini, lorsque les marchandises sont saisies, le propriétaire reçoit un délai précisant la quantité, la norme des produits et le délai pour soumettre la documentation au Federal Revenue Office prouvant sa régularité.
« S’il prouve la régularité, il récupérera toute la marchandise », a-t-il déclaré.
Si le commerçant ne fournit pas la documentation, il perd les produits et reçoit une déclaration aux fins pénales, qui est transmise au ministère public, qui doit décider de déposer ou non une plainte auprès du tribunal.
Selon le député, il existe un certain nombre de raisons préjudiciables à la commercialisation de ce type de marchandises.
« Principalement la question de l’évasion fiscale, qui touche indirectement tous les secteurs de la société, l’éducation, la santé et aussi la santé des personnes, car ces biens n’ont quasiment aucun contrôle de qualité, les produits utilisés pour les fabriquer sont de très faible qualité. C’est un danger pour la santé de la population. »
Les autorités fiscales fédérales ont saisi des marchandises à Ribeirao Preto, SP — Photo : Murilo Badessa/EPTV
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