La rencontre entre Messi et Lewandowski est le temps fort de la coupe mercredi

Mercredi prochain (30) réserve un rendez-vous de stars aux amoureux du football après la Coupe du Qatar. À partir de 16 heures (heure de Brasília), l’Estádio 974 sera le stade où s’affronteront l’Argentine de Lionel Messi et la Pologne de Robert Lewandowski, un match valable pour le troisième tour de la phase de groupes du groupe C et qui décidera du sort de ces équipes. concurrence.

Les frères ne dépendent que de leur propre force pour continuer, ils ont juste besoin de gagner pour se sécuriser en huitième. Après la victoire sur le Mexique samedi dernier (26), l’Argentine arrive motivée pour le match de mardi prochain.

L’équipe de Robert Lewandowski, en revanche, vient d’un triomphe sur l’Arabie saoudite, qui lui a assuré la tête du groupe. Avec quatre points gagnés, les Polonais n’ont besoin que d’un match nul pour continuer.

Au même moment, l’Arabie et le Mexique se rencontrent en groupe à l’Estádio de Lusail. L’équipe mexicaine ne dépend pas uniquement d’elle-même pour progresser puisqu’elle occupe le bas du groupe C pour un seul point, devra vaincre les Saoudiens et espérer une victoire de la Pologne dans l’autre match. Si l’Argentine gagne ou fait match nul, le Mexique devra combler l’écart à la différence de buts. L’Arabie, en revanche, a une situation plus facile pour se qualifier pour les huitièmes de finale, ils n’ont besoin que d’une simple victoire.

Plus tôt, à partir de 12h00, le classement final du groupe D commencera à être déterminé, la France, championne en titre, affrontant la Tunisie au stade Cidade da Educação et l’Australie et le Danemark mesurant leurs forces au stade Al Janoub.

Les Français réalisent leur déploiement avec 100% de réussite jusqu’ici et déjà classés. Les Tunisiens, d’autre part, ont une faible chance d’avancer avec un seul point, et pour ce faire, ils doivent battre la France et espérer que l’Australie ne battra pas le Danemark.

Les Australiens, en revanche, ont une situation très confortable, car ils ne dépendent que d’eux-mêmes. Juste gagner. Les Danois à leur tour doivent gagner, mais avec une meilleure différence de buts que les Tunisiens.

* Collaboration de Pedro Dabés (stagiaire) sous la direction de Verônica Dalcanal.

Julienne Rose

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