La ministre française de l’Environnement, Barbara Pompili, a déclaré mercredi à New York que l’Union européenne des 27 ne pouvait pas imposer un embargo complet sur les importations d’hydrocarbures en provenance de Russie, comme les États-Unis.
Terwijl Washington en Londen hebben aangekondigd te stoppen met de invoer van gas en olie uit Rusland, is de veel meer afhankelijke EU niet klaar om dit voorbeeld te volgen, maar werkt ze eraan om de gasaankopen uit Moskou tegen het einde van het jaar met tweederde te réduire.
S’exprimant au nom de la présidence française du Conseil européen lors de sa visite à l’ONU, Mme Pompili a assuré que les 27 prendraient « des mesures très dures » pour pouvoir « réduire les importations des deux tiers » d’ici la fin de l’année. de gaz russe.
Il a souligné l’importance que cela aurait par rapport à « la dépendance que nous avons aujourd’hui ».
Selon Mme Pobili, qui rencontre aujourd’hui à Washington la secrétaire américaine à l’énergie, Jennifer Granholm, « le président (américain) (Joe) Biden lui-même a admis que la situation aux États-Unis et en Europe n’est pas comparable. Je voudrais nous demander pour prendre une décision. »
Biden a annoncé mardi que son administration mettrait fin aux importations d’hydrocarbures russes aux États-Unis, tandis que le Royaume-Uni s’est engagé à faire de même d’ici la fin de 2022.
Le pétrole russe ne représente que 8 % des importations américaines de pétrole brut ; les États-Unis n’importent pas de gaz de Russie.
Pour réduire la dépendance européenne – les 27 importent de Russie 45 % du gaz et du charbon et 25 % du pétrole qu’ils consomment – sans risquer de nuire aux économies des pays les plus exposés, Bruxelles a proposé que les États membres diversifient leurs approvisionnements, augmentent leurs réserves et en réduisant la consommation d’énergie.
La feuille de route sera discutée aujourd’hui et demain, vendredi, par les chefs d’État ou de gouvernement de l’UE lors du sommet de Versailles. Ils s’engageront à réduire « leur (dépendance) aux importations de gaz, de pétrole et de charbon » de Russie, selon les conclusions consultées par l’Agence France-Presse.
« Cette crise géopolitique va durer » et l’UE ne prendra pas « d’actions qui auraient un impact très grave sur nos économies » et augmenteraient le risque de « déstabiliser nos sociétés », a déclaré Mme Pompili, ajoutant que « on ne peut pas passer on peut aller à 40 % à zéro en cinq minutes ».
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