L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a assuré mardi que l’épidémie de monkeypox (variole du singe ou VMPX) affectant le monde n’est pas lié aux singes et regrette que des primates aient pu être attaqués au Brésil.
« Les gens doivent savoir que la transmission que nous constatons actuellement est interhumaine », a déclaré la porte-parole de l’OMS, Margaret Harris, lors d’une conférence de presse à Genève après avoir été interrogée sur les informations faisant état d’attaques contre des singes au Brésil.
selon Site d’information brésilien G1Dans une réserve naturelle de Rio do Preto, une ville de l’État de São Paulo, une dizaine de singes ont été empoisonnés et plusieurs animaux blessés en moins d’une semaine.
D’autres animaux ont été lapidés, persécutés ou empoisonnés dans plusieurs villes brésiliennes, selon le G1citant l’association de lutte contre le commerce illégal d’espèces sauvages, Renctas.
Selon les statistiques de l’OMS, le Brésil a enregistré plus de 1 700 cas et un décès dus à la variole du singe. Plus de 28 100 cas et 12 décès ont été signalés dans le monde.
La présence du virus monkeypox au Portugal a été détectée pour la première fois il y a trois mois, le 3 mai, rappelle la DGS dans son rapport hebdomadaire avec des données recueillies jusqu’au 3 août.
Le Portugal fait toujours partie des dix pays les plus touchés au monde : États-Unis d’Amérique (5175), Espagne (4298), Allemagne (2677), Royaume-Uni (2546), France (1955), Brésil (1369), Pays-Bas (879), Canada (803), Portugal (633) et Italie (479).
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