Si Pirates des Caraïbes étaient français : une nouvelle aventure d’action enterre son héros dans les 5 premières minutes et ce n’est que le début

Pirates des Caraïbes a déjà fusionné action, suspense et humour dans une aventure grandiose pleine de charme et d’escrime. Si vous avez fêté, ne manquez pas Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan en salles.

Dès l’extinction des lumières du cinéma, pas d’hésitation : dans les cinq premières minutes, notre héros tombe accidentellement dans une embuscade, s’engage dans une bataille vertigineuse, est tué et enterré. Bienvenue dans Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan, une aventure d’action amusante qui ne cesse d’évoquer des souvenirs de Pirates des Caraïbes et qui est déjà un succès garanti au box-office européen de l’été.

Plaisir et émotion s’unissent dans le remake des Trois Mousquetaires

Le roman d’aventures d’Alexandre Dumas, Les trois Mousquetaires, il a été filmé de nombreuses fois. Mais une fois que la dernière adaptation de Martin Bourboulon nous plonge dans l’action, c’est comme si l’histoire classique se déroulait pour la première fois. D’Artagnan (François Civil) est en route pour Paris en 1625 pour devenir un noble guerrier : un mousquetaire du roi. Avec la carrière d’un héros en tête, il est déjà de votre devoir de venir en aide à une voiture en détresse. Mais il est vaincu et enterré vivant, semble-t-il. Après s’être extirpé du sol, il suit la piste des malfaiteurs.

Pourtant, le survivant se fait trois ennemis dès le premier jour d’entraînement, chacun d’entre eux le défiant individuellement en duel : Athos (Vincent Cassel), Porthos (Pio Marmaï) et Aramis (Romain Duris). Ce n’est que lorsque les trois mousquetaires sont entraînés dans un complot par D’Artagnan qui implique également le roi de France (Louis Garrel) et la reine (Vicky Krieps) et la mystérieuse Milady (Eva Green) que les adversaires deviennent des alliés réticents.

Le remake des Trois Mousquetaires : D’Artagnan parvient à maîtriser l’aventure comme un équilibre réussi entre les combats rapides et le côté comique des personnages, dont le timbre de voix faisait de Pirates des Caraïbes le divertissement parfait. Même si rien de surnaturel ne se passe ici, les épées se balancent, trompent et se délectent de paysages, de châteaux et de fantasmes.

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Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan impressionne comme un grand film d’action

Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan regorge de personnalités françaises castées avec une extrême précision : de Vincent Cassel en Athos très respectable à épicurien Aramis de Romain Duris et Milady d’Eva Green avec leur look séducteur et sombre habituel.

Mais non moins magnifiques sont les scènes d’action qui font du film une expérience à couper le souffle. Parce que presque chaque fois qu’une nouvelle bataille se profile, le remake fait une pause dans les coupes rapides pour plonger dans les combats de héros. C’est comme si nous y étions. Cela se produit pour la première fois dans le combat de chars de D’Artagnan sous la pluie, dans une cour nocturne éclairée uniquement par le feu. Des séquences d’appel à l’action tout aussi captivantes se déroulent dans la forêt, au monastère et à bien d’autres moments.

Entre courses-poursuites, personnages captivants et rebondissements dramatiques, Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan propose un cinéma d’aventure français captivant (coproduit par l’Allemagne et l’Espagne) et une nouvelle adaptation d’un matériel familier. Si la fin n’est pas satisfaisante, allez-y doucement, une suite est déjà prévue et sera bientôt présentée en première intitulée Les Trois Mousquetaires : Milady.

Louvel Lucas

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