Un amour en exil, le prince qui a « volé » Salazar et le déluge de Jéronimos. Trois mariages royaux sous la République – L’Observateur

Aujourd’hui, j’écris juste pour discuter d’un sujet sérieux et très important. Ma foi. Comme je vous l’ai dit, je vais à Sigmarigen.

C’est à travers la correspondance échangée que la mère et le fils traitent « l’affaire », discutant des questions liées à une éventuelle restauration monarchique au Portugal. Pour remonter le moral en cette première année d’exil en Angleterre, D. Amélia décide de relancer le mariage de D. Manuel en février 1911, question qui acquiert une urgence particulière à partir du 5 octobre 1910, et se remet « sur le terrain pour obtenir des informations » cela pourrait être important pour l’avenir du joueur de 21 ans. La mère sonde les relations familiales et les connaissances qu’elle domine dans pratiquement toutes les familles royales européennes, mais c’est son fils, un monarque privé de relations diplomatiques antérieures, qui prend finalement les bonnes mesures. D. Manuel est conscient de l’importance politique de cette démarche et est également conscient qu’il ne peut y avoir aucun lien « sans la moindre attirance et affinité »lire dans La reine mal-aimée (Thèmes et débats), une œuvre dans laquelle Margarida Durães réserve un chapitre entier aux mouvements vers le mariage souhaité.

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Victorine Pelletier

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