George Tsipras pour Rafale, Belharra : La défense du pays n’est pas une fin en soi

La déclaration du journaliste de SYRIZA George Tsipras au parlement sur le projet de loi d’acquisition des frégates Belharra, des avions de combat Rafale et des torpilles selon laquelle « la défense du pays n’est pas une fin en soi » a fait sensation.

M. Tsipras a défendu la décision de SYRIZA de voter contre la convention Rafale, insistant sur le coût, le manque de planification et le feu pour une gestion financière imprudente, notant qu’il n’est pas toujours vrai que le simple fait d’acheter du matériel peut aider à défendre le pays renforcé.

« La question de la politique étrangère et de sécurité est à quoi doit servir la défense du pays. La défense du pays n’est pas une fin en soi. Très récemment, en réponse aux déclarations de Tsavousoglou et d’autres anciens États des îles de l’est de la mer Égée, mais aussi du souveraineté nationale des îles, les déclarations du ministère des Affaires étrangères étaient liées à notre souveraineté, mais pas des moindres au droit de la défense », a-t-il déclaré de manière caractéristique et a ajouté :

« La politique étrangère du pays est une donnée, elle ne cesse de se détériorer et cela ne change pas avec l’achat d’un système d’armement », a-t-il noté, préférant la diplomatie et une politique étrangère forte.

Nouvelle Démocratie : Il ne s’agit pas d’un lapsus, mais d’une prise de position politique

Dans une annonce à ce sujet, ND a déclaré: « Auparavant, depuis la tribune du parlement grec, George Tsipras nous a informés que ‘la défense du pays n’est pas une fin en soi’, rappelant une fois de plus le dogme défensif de SYRIZA. Alexis Tsipras lui-même a déclaré que la mer n’a pas de frontières alors que d’autres hauts responsables de SYRIZA nous ont appelés à la risquer avec la Turquie. Il ne s’agit pas d’un lapsus verbal, mais d’une position politique, sur la base de laquelle SYRIZA vote contre les accords de défense, comme celui avec la France et les États-Unis, renforçant nos capacités de dissuasion et protégeant le pays.

Le gouvernement de Kyriakos Mitsotakis améliore le pouvoir de dissuasion de la Grèce, renforce ses forces armées et modernise ses équipements de défense. « En protégeant ses frontières, la Grèce mène une politique étrangère moderne et multiforme et retrouve sa position internationale en tant que facteur de stabilité dans les Balkans et le sud-est de la Méditerranée. »

Philbert Favager

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