Le gouverneur Clécio articule avec le gouvernement fédéral les offres pour achever le pavage de la BR-156 en 3 ans – Diário do Amapá

Le ministère des Transports a annoncé qu’il lancera des appels d’offres pour achever le pavage des tronçons nord et sud de l’autoroute BR-156 à Amapá. Le pronostic est d’achever les travaux en 3 ans maximum. La nouvelle, annoncée lors de la 12e réunion du Comité mixte de coopération transfrontalière Brésil/France (CMT), a été bien accueillie par le gouvernement de l’État et le gouvernement français.

La rencontre entre les représentants franco-brésiliens s’est déroulée les 3 et 4 juillet dans la ville de Cayenne, capitale de la Guyane française, avec des délégations présidées par les gouvernements d’Amapá et d’Itamaraty, ainsi que la Guyane française et la France elle-même.

« Nous avons reçu d’excellentes nouvelles d’André Lima. Il représentait le ministre Renan Filho et nous remplissait d’espoir. Le BR-156 est un cri des Brésiliens, en particulier des habitants d’Amapa et de Guyane, pour le développement économique et social des deux régions., a souligné le gouverneur Clécio Luís. Selon le directeur des programmes du ministère des Transports, André Lima, le ministre officialisera le processus d’appel d’offres lors d’une visite à Amapá le 24 juillet.

« C’est un plaisir d’apporter la bonne nouvelle de la reprise des travaux sur le BR-156 et de la visite du ministre lui-même. Plus tard dans l’année, nos équipes poursuivront la construction des amonts de 3 ponts dans la région de Carnot, nous donnant encore 10 kilomètres d’asphalte dans la partie nord. L’achèvement des travaux, qui est un souhait du gouvernement Lula, devrait avoir lieu d’ici 3 ans afin que nous puissions effectivement réaliser la liaison entre l’Amapá et la Guyane française.décrit le représentant du ministère des Transports.

Suite à cette annonce, la directrice pour les Amériques et les Caraïbes du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, l’ambassadrice Michèle Ramis, a pris la parole pour souligner la coopération sur cette question.

«Nous savons que l’un des problèmes est les 100 kilomètres d’autoroute qui ne sont pas goudronnés, avec les difficultés des conditions de terrain et la nécessité de traverser les terres indigènes et aussi de subventionner les matériaux pour les travaux. C’est pourquoi relier Macapá et le pont d’Oiapoque est si compliqué. Nous avons aussi des problèmes, mais nous voulons vous aider à terminer la route BR-156. Résolvons cela ensemble. »signala l’ambassadeur.


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Victorine Pelletier

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